Lapeine est portĂ©e Ă  trois ans d'emprisonnement et Ă  45 000 euros d'amende s'il s'agit d'une menace de mort. Versions Liens relatifs. Versions. Liens relatifs. Retourner en haut de la page : â€č â€ș × Fermer. Code pĂ©nal Modifications pour : « Article 222-17 - Code pĂ©nal » Imprimer. ×. Cookies est dĂ©sactivĂ©. Autorisez le dĂ©pot de cookies pour accĂ©der Ă  cette Agressionsexuelle; Atteinte sexuelle avec circonstance aggravante (sous la menace d’arme blanche ou Ă  feu, commise par plusieurs personnes). Pour d’autres caractĂšres de viols sur mineur, la plainte est recevable jusqu’à 10 aprĂšs la majoritĂ© du mineur. Ces cas sont citĂ©s dans cette liste : Recours Ă  la prostitution de mineur ; Venuspour les arrĂȘter, un officier de police, un inspecteur et le chauffeur ont Ă©tĂ© agressĂ©s par le dĂ©nommĂ© M.B. Ă  l' .arme blanche, tandis que sa copine a lĂąchĂ© deux pit-bulls qui ont attaquĂ© l'officier de police, atteint griĂšvement au niveau du bras et du visage. Le procureur avait requis la peine maximale pour les deux auteurs, qui ont niĂ© devant le Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd Hỗ Trợ Nợ Xáș„u. Agression arme blanche Visiteur 49Pompom Le 05-03-2016 Ă  1351 Bonjour, moi et mon beau frĂšre avons Ă©tĂ© agressĂ© avec arme blanche courant octobre 2015 suite Ă  sa nous avons portĂ© plainte et moi j ai eu 2 semaine d arrĂȘt de travail suite Ă  sa aujourd'hui hui nous avons Ă©tĂ© convoquer Ă  la gendarmerie pour nous remettre la date du passage au tribunal et la surprise ,nous somme accusĂ© de violence en rĂ©union alors que j ai dĂ©fendu mon beau frĂšre qui se ferait poignardĂ© je ne comprend pas cette plainte? RĂ©pondre au sujet Attention Les rĂ©ponses apportĂ©es ci-dessous peuvent ĂȘtre juridiquement erronĂ©es. Nous vous invitons pour toute question pouvant avoir des rĂ©percutions Ă  consulter un Avocat. RĂ©pondre RĂ©pondre Membre Math641 Le 05-03-2016 Ă  1436 + 1000 messages Bonjour,Quelle est la question?Car juridiquepment, rien n'empĂšche la partie adverse de dĂ©clarer que VOUS etiez les agresseurs et de porter plainte Ă  leur sera alors une bataille de preuves... RĂ©pondre Signaler ce contenu Membre 49Pompom Le 05-03-2016 Ă  1454 Ok je comprend bien mais lors de la confrontation que l on as eu avec l agresseur il avait avouer que les coup de couteau envers mon beau frĂšre Ă©tait volontaire . Peut importe je voulais savoir que risquons nous alors que c est la premiĂšre fois que l on as affaire avec la justice Signaler ce contenu Avocat MaĂźtre Sophia ALBERT Le 11-03-2016 Ă  1155 Barreau de Avignon Bonjour,En ce cas, c'est que le dossier laisse apparaitre des elĂ©ments Ă  votre ressort du dossier que votre beau frĂšre a Ă©tĂ© agressĂ© aĂ  l'arme blanche et que vous l'avez dĂ©fendu sans arme, la lĂ©gitime dĂ©fense sera retenue proportionnalitĂ© des moyens utilisĂ©s dans votre dĂ©fense face Ă  l'attaque.Il est donc important que vous sollicitiez copie de votre dossier avant l'audience afin d'examiner les RĂ©pondre Signaler ce contenu Retour en haut de la page Dans le box des accusĂ©s, un jeune homme de 32 ans, en dĂ©tention provisoire depuis les faits. Lundi 11 novembre 2019, Ă  5 heures du matin, il avait agressĂ© une Ă©tudiante qui rentrait chez elle, seule, Ă  pied. Les policiers avaient surpris l’accusĂ©, en flagrant dĂ©lit, assis Ă  califourchon sur la victime dont le jean Ă©tait dĂ©boutonnĂ©. Si pour les forces de l’ordre et la victime, la tentative de viol est indiscutable », la dĂ©fense de l’accusĂ© soutient en revanche une autre version celle d’un coup de rage » sans intention de viol. Au rappel du dĂ©roulement des faits, le premier jour, devant la cour d’assises, la victime et l’accusĂ© ont livrĂ© leur version. Des tĂ©moignages qui concordent en tous points, sauf un. La veille de l’agression, dimanche 10 novembre, l’étudiante de 19 ans est avec deux amies. Elle rejoint d’autres copains dans un bar Ă  Brives-Charensac avant de continuer la soirĂ©e dans le centre-ville du Puy. À 4 heures, le petit groupe se rend au-dessus du Breuil pour partager quelques pizzas. Une partie du groupe repart en taxi. L’étudiante poursuit Ă  pied avec deux copains qui habitent dans le centre-ville. Le premier garçon, puis le second, laissent la jeune femme seule quelques mĂštres avant la place Cadelade. Elle continue son chemin en direction du domicile sa mĂšre. Une camĂ©ra de vidĂ©osurveillance la filmera en train de s’engager sur le Faubourg Saint-Jean. La jeune femme explique Trois cent cinquante mĂštres plus loin, j’ai entendu quelqu’un courir derriĂšre moi. Je m’écarte pour le laisser passer. Mais il m’attrape et me met un couteau sous la gorge
 puis il me projette au sol. L’arme blanche a une lame crantĂ©e de 25 centimĂštres. La jeune femme se dĂ©bat et hurle Ă  l’aide alors qu’elle est maintenue allongĂ©e sur le dos au niveau d’une plaque d’égout. Alors que son agresseur lui demande de se dĂ©shabiller », elle continue de rĂ©sister. Le trentenaire lacĂšre alors le tee-shirt et le chemisier de la victime J’ai eu peur. J’ai rĂ©ussi Ă  prendre le couteau avec ma main pour le jeter plus loin. » DĂ©sarmĂ©, l’agresseur mord ce qui semble n’ĂȘtre pour lui qu’une proie Ă  qui il arrache ensuite un baiser. J’ai vu la lumiĂšre des gyrophares de la voiture de police. J’ai su que c’était fini ». la victime Un riverain a entendu ses appels et prĂ©venu la police. L’agresseur prend alors la fuite Ă  l’arrivĂ©e de l’équipage, mais chute au bout de 100 mĂštres avant d’ĂȘtre interpellĂ©. J’étais dans une rage folle et je voulais faire sortir toute cette violence » L'accusĂ© qui cumule sept mentions Ă  son casier judiciaire *, dĂ©fend une version presque similaire. Il reconnaĂźt l’agression avec ce couteau qu’il portait sur lui. Dans un contexte sentimental difficile, cet ancien toxicomane, sous mĂ©thadone au moment des faits, s’est saoulĂ© au whisky avant de dĂ©cider, sur le coup des 4 heures du matin, de descendre au Puy acheter de la drogue. Ce soir-lĂ , je voulais me dĂ©foncer et oublier. » Il se gare dans le centre-ville et cherche un distributeur de billets. Il croise l’étudiante de 19 ans, lui demande oĂč trouver un distributeur. Elle l’envoie en direction de La Poste. Je ne sais pas ce qui s’est passĂ©. J’ai fait demi-tour. J’étais dans une rage folle et je voulais faire sortir toute cette violence. » La mĂ©moire du jeune homme dĂ©faille. S’il regrette tout en reconnaissant la violence de son agression, il dĂ©nonce avoir eu des intentions de viol. Il nie aussi avoir stoppĂ© son agression Ă  l’arrivĂ©e de l’équipage de police. C’est son regard apeurĂ© qui m’a fait prendre conscience de ce que j’étais en train de faire et qui m’a rĂ©veillĂ©. » Je regrette profondĂ©ment ce que j’ai fait. Je dois ĂȘtre puni pour ça » lĂąche l’accusĂ©. Au cours de la premiĂšre journĂ©e d’audience, la dĂ©fense, assurĂ©e par MaĂźtre AurĂ©lie Chambon, reconnaĂźt l’agression physique violente avec l’usage d’une arme, mais refoule tout Ă©lĂ©ment en lien avec la tentative de viol. VĂ©ritable perte de mĂ©moire ou consĂ©quence de sa forte consommation d’alcool ? l’individu prĂ©sentait une alcoolĂ©mie de 1,5 gramme d’alcool par litre de sang au moment de son interpellation. Pour une tentative de viol sous menace d’une arme, l’accusĂ© encourt jusqu’à 20 ans de rĂ©clusion. Si les faits sont requalifiĂ©s en agression sexuelle, la peine maximale encourue est de 5 ans. L’audience se poursuit ce jeudi. Les six jurĂ©s et les magistrats entendront notamment le tĂ©moin oculaire qui a prĂ©venu la police ce matin-lĂ . Le verdict est attendu dans jeudi soir. CĂ©line Demars * Dont six en rapport avec les stupĂ©fiants. Il y a un an, le 2 juin 2021, un adolescent de 14 ans Ă©tait poignardĂ© Ă  deux pas de la cathĂ©drale de Reims par un Ă©lĂšve du mĂȘme collĂšge. Ce jeudi, un hommage Ă©tait rendu Ă  Éloi-An sur les lieux mĂȘmes du drame. Ils Ă©taient une cinquantaine Ă  rendre hommage Ă  Eloi-An, ce jeudi 2 juin 2022, Ă  Reims. VĂȘtus de T-shirts blancs sur lesquels on pouvait lire le message "Éloi-An nous t'aimons", les parents, les camarades et les proches du jeune homme ont respectĂ© une minute de silence en sa mĂ©moire, Ă  l'endroit mĂȘme oĂč le drame a eu lieu un an plus tĂŽt, jour pour jour. Le 2 juin 2021, Éloi-An a Ă©tĂ© agressĂ© Ă  l'arme blanche rue Henri-Menu tout prĂšs de la cathĂ©drale par un adolescent du mĂȘme Ăąge, scolarisĂ© comme lui au collĂšge Saint-Joseph. L'altercation d'une rare violence avait Ă©clatĂ© aprĂšs des diffĂ©rends sur les rĂ©seaux sociaux. HospitalisĂ© pendant plus de deux mois au CHU de Reims, il avait succombĂ© Ă  ses blessures le 21 aoĂ»t 2021. Le pĂšre et la mĂšre du garçon ont pris la parole lors de ce moment empreint d'Ă©motion. "Le 2 juin dernier c'Ă©tait le drame, la violence, mais aujourd'hui c'est l'hommage", a dit ValĂ©rie Delattre, sa mĂšre, aux personnes rassemblĂ©es avant la minute de silence. "Ces lieux ne seront plus les mĂȘmes parce qu'ils seront chargĂ©s d'amour." "Chaque instant est trĂšs difficile. On survit", nous a confiĂ© le pĂšre Olivier Delattre, qui a bien voulu nous rĂ©pondre Ă  l'issue du rassemblement. "Il Ă©tait important qu'on honore sa mĂ©moire particuliĂšrement avec tous ses amis du collĂšge, du centre Ă©questre de Reims, du campus des savoirs oĂč il suivait des cours pour amĂ©liorer ses rĂ©sultats", a-t-il ajoutĂ©. En novembre, une marche blanche avait rassemblĂ© plus de 130 personnes. Le 1er juin, une messe Ă  la mĂ©moire du jeune homme s'est tenue au sein de l'Ă©glise Saint-AndrĂ©. "Éloi-An Ă©tait un garçon si attachant, il Ă©tait aimĂ© de ses amis, de ses camarades. Qu'ils soient prĂ©sents Ă  toutes ces manifestations, ça nous fait chaud au cƓur et ça nous soutient, par rapport aux Ă©preuves que l'on va vivre et le procĂšs qui va arriver d'ici quelques temps", a expliquĂ© Olivier Delattre. À l'occasion de ce triste anniversaire, nous avons interrogĂ© Matthieu Bourrette, le procureur de la RĂ©publique de Reims sur les avancĂ©es judiciaires dans cette affaire. "C'est un dossier qui vient tout juste de se terminer. Aussi bien les services d'enquĂȘte, les services sociaux, le magistrat instructeur, les parties, tout le monde a fait en sorte que ce dossier aille relativement vite compte tenu de sa spĂ©cificitĂ©", a-t-il prĂ©cisĂ©. "Le juge d'instruction a estimĂ© qu'il y avait des charges suffisantes pour que le mineur soit renvoyĂ© devant le tribunal pour enfants. Vu son Ăąge, ce ne sera pas la cour d'assises mais le tribunal pour enfants. Il va statuer comme si nous nous trouvions devant une cour d'assises, mais sans jurĂ©s", a ajoutĂ© le procureur. On attend que la justice soit rendue avec la plus grande fermetĂ©, on lui fait entiĂšrement confiance. Olivier Delattre, pĂšre d'Éloi-An L'auteur prĂ©sumĂ© des faits, mis en examen et placĂ© en dĂ©tention provisoire, encourt un maximum de vingt ans de rĂ©clusion criminelle. Si personne ne fait appel de la dĂ©cision du juge d'instruction, un procĂšs devrait se tenir avant l'Ă©tĂ©.

peine encouru pour agression avec arme blanche